Myrinia (perso: Nidelfin)

Nidelfin

A cette époque la paix semblait retrouvée ; le second âge avait vu la chute de Sauron lors de l’ultime alliance des Hommes et des Elfes et rien ne laissait présager de nouveaux troubles. Cependant, lorsque je vis le jour, en ce 26 Ivanneth 1463, les augures ne furent pas bons : Imladris était bien agitée. En effet, le Rhudaur peu à peu s’assombrissait tandis qu’au sud, Le Cardolan voyait l’émergence de la cupidité humaine, toujours en guerre pour une parcelle de terre. L’ombre pénétrait ces terres jusque là paisibles…
Ainsi, je serais à jamais lié à ces événements et à ce qu’ils entraîneront bien que nul en ce jour de célébration de la vie ne s’en doutait ; si ce n’est Maître Elrond.
C’est pour cette raison, pour cette lutte afin de sauvegarder la lumière divine que j’ouvris mon cœur à Varda. Désormais voué à son culte, rien ne pourrait m’arrêter, à moins que ceci ne soit déjà écrit quelque part. Mais malgré cette foi, j’étais encore jeune et ce ne fut que 127 ans plus tard que tout s’éclaircit ; ce jour où Elrond me manda en sa demeure. La sagesse qu’il incarne m’a tout d’abord ébloui, de sorte que sa présence a effacé ses mots et qu’il me fallut plusieurs heures afin de me remémorer ses dires. Aujourd’hui encore, il m’arrive de douter de l'exactitude des paroles prononcées en ce jour. En tout cas, ce souvenir restera à jamais gravé dans ma mémoire comme celui de la révélation mais aussi de la maturité. Sous la soleil d’Urui je quittai Rivendell sans savoir si un jour j’y remettrai les pieds.

Depuis, bien des nuits ont passé et le groupe que je dois accompagner au Lac de Brien s’avère bien sympathique. Ce que vous allez découvrir ci-dessous est le récit de notre voyage.



• Le 23 Cerbeth 1590 :
C’est bien ce que je craignais, ces si belles régions subissent d’étranges troubles. Nous sommes actuellement en Erégion et venons de dépasser Fenas Drunin. Jusque là, la route s’est avéré calme ou du moins classique, seuls quelques Trolls communs à nos régions nous ont ralentis. Mais alors que nous contions nous reposer dans un petit village le Mal nous rattrape.
En effet, la rumeur coure que des monstres peupleraient les bois avoisinants, dévorant quiconque s’y rendrait. Leur dernière victime datant de la nuit passée. On nous présenta son corps ; entièrement nue, dévorée, griffée, mordue… ce ne peut-être l’œuvre d’un loup, ses morsures étant bien trop grandes. Cette pauvre femme était âgée de 30 ans et sa beauté ne laissait personne indifférent ici, malheureusement sa chevelure brune était la seule marque de son éclat d’antan.
Nous décidâmes d’aller quérir des conseils auprès du sage de ces lieux. Il nous apprit une légende racontant ceci. Durant les nuits d’hiver approchant fin Narwain, des hommes, des femmes et même des enfants étaient kidnappés et retrouvés déchiquetés dans les bois. On ne sait quelles créatures sont à l’œuvre : des Loups-Garous ? Mais, il n’y en aurait plus depuis longtemps et nous sommes actuellement au printemps, non en Hiver.
Nous devons rester pour protéger ces paysans.

• Le 24 Cerbeth 1590 :
Cette nuit, 6 loups ont pénétré dans le village, leur vie fut courte. Mais le réel danger vient de cette ombre fugitive, plus massive que des lupus, qui surgit dans la nuit. Nous n’avons pu l’intercepter et ce qui nous craignions se produisit : 5 personnes ont disparu. Nous resterons donc tant que cette histoire ne sera pas réglée car le danger est grandissant.

• Le 25 Cerbeth 1590 :
Cette nuit, ils ont attaqué de nouveau, 2 loups-garous, nous en sommes sûr désormais. L’un est mort sous les coups de Cubix et Douwina. L’autre s’est enfui, emportant avec lui une mère de deux enfants, qui eux, ont pu être sauvé, grâce à Varda ! Il reviendront… je le crains.
Nous rapatrions tous les villageois au temple, il faut aussi prévoir quelques réserves de nourriture et d’eau. Quant à nous, avec l’aide des plus vaillants hommes armés de fourches et de pioches nous garderons ce lieu saint. Elbereth offres-nous la victoire.

• Le 26 Cerbeth 1590 :
Finalement, aucun Loup-Garou à l’horizon, mais nous avons pu en suivant leur piste trouver leur cachette au cœur de la forêt. Après une heure de marche nous fîmes la rencontre, peu réjouissante, « d’un éleveur » de wargs (2). Une fois défait nous eurent la fâcheuse surprise de découvrir sa vrai nature : Mi-humaine, mi-orque ; triste résultat des nombreux pillages des troupes de Morgoth… Cubix fit l’acquisition d’une hache de grande qualité.
De retour au village, que d’acclamations ! Et ce soir, nous pourrons nous reposer… Gratos !

• Le 27 Cerbeth 1590 :
Le Lac de Brien nous attend, et la route n’est plus très longue désormais. Petite course de chevaux pour se chauffer entre Cubix et moi. Douwina et Maïféa s’y mêlent(victoire de Maïféa devant Douwina), ils s' font pas chier… Mais Cubix est rusé, tranquille en arrivant, alors que nous avions ralentit le train afin d’arriver ensemble, il toucha l’arbre : belle victoire.
Aucun problème lors de cette journée, nous devrions arriver d’ici 2 nuits. Ce soir j’ai découvert grâce à mon compagnon Naugrim la sculpture sur bois : je vais tenter de me confectionner une choppe.

• Le 28 Cerbeth 1590 :
Cette nuit nous avons fait la rencontre de Saifer, un semi-elfe du Calenardhon, apparemment sympathique (fumeur d’excellente Herbe à pipe: la Titania). Il se rend tout comme nous au Lac de Brien afin de s’y procurer un peu de cette fameuse Titania.
Valaya nous a rejoint ce matin, (=dépouille)et vers 10h00 nous partons enfin… on n'est pas arrivé !

• Le 29 Cerbeth 1590 :
Encore une journée qui démarre péniblement, Franil n’a pas voulu partir avant d’avoir mâcher de l’herbe…à pipe. Je crains qu’il ne souhaite prendre exemple sur Légé, le cheval de Douwina, un toxicomane endurci.
En milieu d’après-midi enfin, nous apercevons les portes de Thirith Brien. Et derrière celle-ci, à quelques kilomètres, le lac du même nom. Sur ces bords fleurissent plusieurs villages, c’est une région boisée et luxuriante.
Tirith Brien abrite une place principale où s’érige la statue de Malcolm, un héros local. Mais cette cité cache d’autres lieux bien plus intéressants. Ainsi cherchant une auberge, nous atterrîmes au Crâne qui Fume, comptoir de l’herbe à pipe dans la région, tenu entre autre par un hobbit… Nous sommes enfin arrivés à bon port et il nous faut encore attendre que Varda nous montre le chemin. Selon certaines rumeurs il ne faudrait pas s’approcher du lac en pleine nuit, sombre et sans reflet, il abriterait un grand danger. Les environs me paraissent périlleux car Naheulbeuk, de l’autre côté du lac abriterait elle aussi des êtres étranges, nous n’en saurons pas plus ici.
Direction l’archerie, puis l’orfèvrerie et enfin le temple de Varda local… Cette ville abrite une créature féerique, une Noldorim du nom d’Eowyn, fille de l’orfèvre, qui elle aussi est au service de Varda. Suite à ces conseils je me rendrai au temple de Varda d’Iltdorf à une journée de marche, afin d’y rapporter un symbole de ma foi.
Mais ce soir là, avant de partir je décidai de m’instruire sur Varda et sur la Création du Soleil et de la Lune.

• Le 30 Cerbeth 1590 :
Ce matin, c’est le départ pour Iltdorf, quatre de route avant d’arriver et de se rendre au temple. Là-bas, un vieux prêtre me dit que Naheulbeuk a bien changé et qu’il a de mauvaises intuitions sur ces contrées. En partant, celui-ci me fait don d’une écharpe brodée de runes en l’honneur de Varda, je lui réponds que je les porterai toujours, ce qu’il me déconseille sous peine de dangers. De retour à Tirith Brien, Eowyn m’en apprend plus sur cette écharpe.
Au Second Age, lors de la guerre contre Sauron, un temple au sud du lac de Brien a été détruit. Afin de le reconstruire, il est nécessaire de réunir les huit runes de Varda, et pour m’aider dans ma quête la belle Eowyn me fait don d’un saphir, l’une des huit runes : il nous en manque six. Elles sont de taille et d’apparence diverse et seraient dispersées autour du point d’eau.
Cette région a besoin de la protection des Valar, nous ferons notre possible. Naheulbeuk est déjà sous la possession des forces du mal, mais nous ne devons pas encore nous y rendre car les informations sur les forces en présence manquent.
Ce fut une nouvelle déchirure que de quitter Eowyn pour rejoindre nos amis à Iltdorf mais l’aventure nous attend.

• Le 1er Urui 1590 :
Nous sommes, Saifer et moi, de retour à Iltdorf ; nos camarades dorment hormis Valaya déjà fraîche et rayonnante. Nous partirons donc tous trois vers le lac, cap sur l’île. Là-bas, Valaya aperçoit l’entrée d’une grotte et en son sein un coffret pourri. Une fois ouvert, quelle joie lorsqu’une pièce métallique gravée d’une rune de Varda luit devant nous. C’était trop facile ! Nous décidions de faire demi-tour quand surgit derrière nous une forme aquatique : un élémental d’eau. Valaya faillit payer de sa vie lorsque des mains de Saifer surgit un éclair choquant qui me donna l’opportunité de planter une fléchette enflammée dans cette créature, ainsi ramenée à sa nature originelle… une flaque d’eau.
Notre moyen de transport retour, une barque vermoulue, résista tant bien que mal au retour. Nos montures étaient toujours là, nous chevauchèrent donc jusqu’à Iltdorf pour le repas du soir.

• Le 2 Urui 1590 :
Nous décidons de repartir tous ensemble pour le lac en coupant au plus court, et c’est ainsi qu’après la forêt nous faisons la rencontre d’un bûcheron. Cette homme nous conforte dans notre crainte, parlant du lac qui depuis un an s’assombrit à la nuit, puis de Naheulbeuk et des histoires morbides qui en viennent. Etant donnée sa vocation j’en profite pour lui demander quelques conseils conçernant la sculpture sur bois ; il me renseigne sur la qualité du bois et nous offre deux bûches de chêne.
Il est midi lorsqu’on nous posâmes pied au bord du lac : rien d’étrange, si ce n’est une forme aquatique sur l’île. Finalement nous nous dirigeons vers les bois envirronants que l’on décide de fouiller espérant y découvrir un indice pour notre quête mais sans succès. Nous installons le camp quand tout à coup Cubix et moi flashons sur un pied d’ beuh, c’est une folle course qui débute, il gagne ayant démarré plus tôt et arrache ce pauvre pied de trois mois à peine. Je décide de prier et sculpter, mais je suis troublé par je ne sais quel mauvaises ondes…

• Le 3 Urui 1590 :
Le jour se lève mais ce n’est pas le champs du coq qui nous réveillera aujourd’hui, mais des bruits inhabituels. Quelqu’un approche, ou quelque chose… Des chevaux. Cubix court vers la plaine comme un dératé, il a une pêche d’enfer en moment, j’ôte mon armure pour prendre ma revanche, mais il a trop d’avance et ce n’est pas encore pour aujourd’hui bien qu’il se soit essouflé sur la fin. Nos visiteurs n’étaient autres qu’Orphëa, Gognok et un elfe sylvain du nom de Thoran Dyr. Fatigués de leur chevauchée ils décident de se reposer.
Sular-Brien, au Sud-Est de Thirith Brien s’ouvre à nous, Varda nous salue, main tendue vers le lac. Orphëa et moi irons au temple. Amzzz le prêtre de Varda nous questionne au sujet l’île et des orques que rencontrèrent Gognok et Orphëa au cours de leur chemin.
Quant à nous, nous tentons d’en savoir plus sur la statue de Varda érigée au cœur du village. Amzzz nous apprend qu’elle fut construite en même temps que le temple, il y est gravé : « Le don de Varda aidera à sa sauvegarde. » Nous le remercions de son accueil et rejoignons nos compagnons à l’auberge du coin afin de s’y sustenter et de repartir de suite pour le lac à la tombée de la nuit. Rien ne s’y passe, aucun trouble dans l’eau, ni même lors du concours improvisé de ricochets, jeu ou Cubix excelle… aussi. Gognok, complètement fou, se rue dans l’eau, y allume une torche qui ne s’y reflète pas. Il plonge alors sous l’eau, rien n’y fait, elle est totalement opaque sous les rayons lunaires.
A cet instant Orphëa distingue une ombre furtive à l’orée du bois, un loup-garou, de nouveau. Douwina se charge de celui-ci… nous suivons sa trace. Elle traverse la forêt puis se perde dans les plaines de l’autre côté. Les pistes ne sont plus sûres et la nuit est déjà bien engagée. Nous décidons donc de prendre du repos.

• Le 4 Urui 1590 :
Nous longeons le lac deux heures durant et n’y rencontrant rien d’étrange décidons d’aller au village d’Ar Dunir, inconnu à nous. Au centre de celui-ci, une petite place avec une fontaine ronde, une auberge, une taverne érotique(La Rose Pourpre), et enfin le temple de Varda, monument commun à tous les villages de Brien. Sa prêtresse dit ne pouvoir guère nous aider dans notre quête, cependant elle nous apprend que les loups-garou viendraient du Nord-Est. La prophétie dit que les runes peuvent se trouver n’importe où et en la possession de n’importe qui.
Ce soir, nous retournerons une fois de plus au lac puis emprunterons des chemins inconnus. Un e petite bataille contre des orcs marque la naissance des Muscle-Cutters avec Douwina en réponse au Bone-Brakers de Tharon Dyr, Gognok et Orphëa. Cubix en profite aussi pour rejoindre les B.B. Huits orcs furent ainsi broyés et tranchés.

• Le 5 Urui 1590 :
Un sentier s’enfonce dans le bois jusqu’à une clairière abritant une grotte. Dans la roche, bien enfoncée , se trouve une épée aux runes de Varda gardée par deux élémantaux de la terre. Orphëa et moi les terrassons avec l’aide de Cubix, Douwina et Tharon Dyr. Cette arme une fois examinée révèle sa terrible puissance : fondue dans du mithril, le froid qu’elle dégage lorsqu’elle frappe mort la peau d’un souffle glacial.
Notre prochaine destination est Dunir Brien ; Comdahb, le doyen du temple nous renseigne sur les huits runes. Au sud se dressait un monument, son origine est inconnue mais il est désormais en proie à des âmes hantées… Nous ne pouvons passer outre. Il faut y aller de ce pas.

• Le 6 Urui 1590 :
Direction le Sud, vers ce lieu autrefois sacré et désormais maudit. En fin de matinée, un petit chemin coupe notre route, il se dirige au sud, cap sur les ruines. Nous ne pouvions les rater, en effet a notre arrivée un charnier d’ossements se dresse en une créture animée : un golem d’os. Douwina le disloque sans mal, c’est alors qu’Orphëa décide de retourner seule au village. Nous continuerons donc sans elle.
Ode à Cubix
(sur l’air de Pumbo Lotto Mobil)

Cubix… Cubix
Tu es un nain débile…bile
Ma pute n’est pas docile…cile
Et tu lui tranches la cuix,
Cu…Cu…Cu…Cubix

Cubix…Cubix
Une marque indélébile…bile
Qui te rend si fragile…gile
Car t’as mal à la trix,
Cu…Cu…Cu…Cubix

Si mon arme porte malheur
Cubix n’a jamais peur
Tu aimes les cicatrix
T’en as une sur la trix
La souffrance est ton rite
Il suffit de voir ta bite
Même si t’es un lapin
Tu resteras mon meilleur copain.
Gognock

• Le 7 Urui 1590 :
Nous logeons la forêt jusqu’à ce qu’elle prenne fin. Face à nous se dessinent des collines verdoyantes au sommets desquels des pierres apparemment rituelles sont dressées. En nous approchant, il est évident que ce sont des menhirs. Des gravures sont encore visibles à leur base. Nous avons sans doute à faire à la localisation du temple détruit. Un des menhirs contient l’emplacement pour deux, dont la pièce que nous possédons déjà. L’autre trou est de forme approximativement rectangulaire. C’est sûrement un cimetière, les tombes datent du second âge. Durant la dernière alliance je pense.
Nous rebroussons ensuite chemin pour nous rendre à Ar-Dunir. Ce soir à l’orée de la forêt, Cubix m’enseigne la sculpture.

• Le 8 Urui 1590 :
Aujourd’hui ce sont nos montures qui feront le boulot car afin d’arriver aux portes d’Ar-Dunir l a journée ne sera pas de trop.
Le soir tombe lorsque nous arrivons à l’auberge. La soirée fut courte mais réparatrice, une garde n’étant pas nécessaire.

• Le 9 Urui 1590 :
Aux aurores, nous empruntons la route menant à Tirith-Brien. Nous effectuons une halte à Sular-Brien aux alentours de midi et entrons dans Tirith avant que les échoppes ne ferment.
Je décide de rendre visite à Eowyn, mon absence a été trop longue et notre quête avance peu à peu, peut-être saura-t-elle nous guider.
Son père connaît l’existence des menhirs, mais n’en sait pas d’avantage. La légende dit que la pièce accompagne un parchemin, je crains que ce ne soit celui que nous avons retrouvé en cendre dans le coffre de l’île la semaine passée. De plus, il nous conseille de quérir l’aide d’un vieux sage connaissant ces régions. Il s’interromp à l’entrée de sa fille. Elle descend les escaliers et illumine de sa beauté la salle auparavant assombrit par le jour qui s’éteint. Son conseil est synonyme de tape-cul sur cheval : il nous faut partir pour Braag, au Nord, le plus petit village du lac. Je lui demande ensuite si elle aurait l’amabilité de nous honorer de sa présence lors d’une visite de la ville. Elle acepte et nous guide dans cette cité, devenue si resplendissante depuis elle est à nos côtés. Voici l’occasion de faire quelques achats pour redonner de la prospérité au commerce local et du poids à nos sac à dos. Pour résoudre ce léger problème nous envisageons d’investir dans une charrette aux gamme avec l’or d’Orphëa. La commande est passée pour notre chariot « ou est Stern » suréquipé :
o Arceau de qualité (forgeron)
o Bâche en tissu imperméable et résistant (« Le Vêtement)
o Coussin sur les sièges (« Le Vêtement)
o Coffrets imperméables situés sous les sièges (au menuisier-ebéniste)
o Trappe au centre du chariot (charetier)
o 4 couvertures, 4 gros oreillers, 2 lanternes, 3 flasques d’huile (Droguerie)
o 2 saucissons, 1 jambon cru (Boucher-charcutier)
o 1 tonnelet de bière –5l- (Brasseur)
o 1 Grand pain « de secours » (Epicier)
Pour un total de 19po, 1pa et 5pb. Ils finissent ensuite la soirée à l’auberge, tandis que je dîne avec Eowyn. Ce fut une soirée mémorable, je la raccompagne et rejoins mes amis à l’auberge… mais beaucoup dorment déjà. Tant pis !

Magnifique RP !!
Vivement la suite

C est un perso que je jouais malheureusement je m ne sers de moins en moins mais on ne sait jamais....